Lecture de scénario made in pm90

Charly se leva de son lit pour la deuxième fois de la matinée, il s'extirpa de sa mince couette et descendit de son lit superposé. En dessous, Jack dormait encore, l'éveillé alla donc vite dans la petite salle de bain adjacente à leur petite chambre chambre, pris au passage sa bouteille prévu pour le sport et la rempli au robinet.

Il revint à pas de loup jusqu'au chevet de son ami et lui versa la totalité du contenu sur la figure. Envahit par une soudaine fraîcheur provoqué par un liquide qu'il reconnut aussi tôt, le retardataire sur-sauta et se cogna violemment au sommier placé juste au dessus de sa tête. Courroucé, il prit son oreiller et frappa durement son assaillant, celui-ci décrivit un long roulé boulé dans toute la chambre, surement simulé, puis les deux adversaire se ruèrent l'un sur l'autre et se frappèrent durement à coup de bouteille et d'oreiller. A la fin, abattu par cette petite escarmouche symbolique de la chambre numéros 42, il se laissèrent tomber sur le parquet.
"Tu es vraiment dur de me réveiller comme ça, lança Jack à bout de souffle.
-Il fallait bien que tu te réveille un jour! répondit du tac-au-tac Charly en se retenant de pouffer.
-Ouai mais là, je vais pas pouvoir me recoucher, mon oreiller est trempé!
-C'était le but de la manœuvre."
Cette dernière phrase déclencha immédiatement le second round entre les deux élèves mal réveillé. Ce fut la sonnerie du levé qui les stoppa de nouveau. Ils se levèrent, le gagnant du 2nd round pris ses affaires de toilettes et fila sous la douche alors que le perdant enfila ses affaires et commença à ranger la chambre.

Quand Charly sortit enfin de la douche, Jack se précipita prendre la relève du pommeau, pour laisser son occupation à celui qui l'avait soumis quelques minutes plutôt lors de leurs bataille matinale.

Au bout d'un quart d'heure, les deux acolytes fin près pour affronté les épreuves que leurs réservait l'internat, se dirigèrent vers le réfectoire ou ils venaient prendre leurs petit déjeuné chaque matins. L'horloge numérique indiquait dix heures. Le réfectoire était quasi-désert, seul un groupe de quatre personnes et deux autres personnes prenait le repas matinal. Ils se servirent et allèrent s’asseoir dans un coin du grand réfectoire.
"Bon, on fait quoi après, lança Jack?
-Moi, je vais rendre visite à ma mère. Et toi?
-Je sais pas du tout... Je pense aller au gymnase pour perfectionner mon lancé franc, si tu vas à l'hopitale
-Tu ferais mieux de prendre des cours de karatés pour t'éviter les rangements dés le matin, s’exclama Charly"
En effet sa mère était hospitalisé depuis plusieurs mois... les médecins affirment à chaque fois que son état se stabilise mais Charly voit bien que sa mère a de moins en moins de force et commence a avoir de grosse perte de conscience. Ils débarrassèrent donc leurs plateau et se dirigèrent vers leurs activités respectives.[/quote]

Ça faisait déjà une bonne heure que Jack se torturais les bras pour s’entraîner au lancé-franc. Maintenant, il arrivait a en placer quatre pour cinq shoot. Les bras endoloris par l'effort, il s’arrêta à la sonnerie de cinq heure. Il alla au douche commune qui étais déserte ce jour là et se rafraîchit, tout en souhaitant que l'état de santé de la mère de son ami s'était un peu amélioré... Il se sécha, s'habilla et va directement dans la chambre. Quand il entra dans la chambre, il sentit tout de suite une atmosphère lourde... très lourde... En effet il trouva Charly le regard vide rivé sur un bout de papier. Un silence de plond régnais dans la chambre habituellement toujours très mouvementé.

<< Qu'est ce qu'il se passe, demande alors Jack?>>

Il eu pour réponse le même brouhaha qui l'avait accueillit.

<< Eh Oh! Charly! Tu m'entends?!>>

Son ami se tourna lentement dans sa direction, il était pâle, trop. Ses yeux qui brillait de malice habituellement était voilé par des larmes. Son visages déchiré par le chagrin était rougis sous les yeux. Jack comprit enfin ce qui était arrivé à la mère de Charly, il baissa les yeux et avança doucement jusqu'à l'échelle du lit et y grimpa. En haut il s'assit en tailleur sur la couette et prit son ami dans ses bras. A six heures, Jack entendit des bruits dans les couloirs, c'était leur camarade qui commençait à revenir.

<< Jack, depuis ce matin j'avais un mauvais pressentiment...
- Comment ça?
- J'ai fait un cauchemars cette nuit, j'ai rêvé que maman était morte et que je souffrait horriblement. Ensuite je me suis retrouvé dans un hôpital plein de sang, puis pendant la nuit j'ai crié mais il faisait horriblement noir et je ne voyait rien... Puis je me suis réveillé.

Cette révélation souleva une grande incertitude chez son ami, Jack l'éloigna de lui et le regarda fixement puis déclara :

<< Toi tu n'es pas en état d'aller en cours demain, j'irais parler à l'infirmière de l'incident, tant fait pas. >>

Cette idée parut raisonnable à Charly puis demanda à se coucher, ce que le laissa faire Jack. Il descendit du lit supérieur et sortit de la chambre. Il alla directement à l'infirmerie pour expliqué l'état de son meilleur copain. Une fois fait il se dirigea vers le bureau du proviseur et toquât.

<< Entrez! Répondit une voix rauque et tendu.
-Bonjour Monsieur, je viens au nom de mon ami Charly qui ne sera pas en mesure d'assister au cours pour les prochains jours.
-Comment ça?
-Voilà, la mère de Charly est décédé.
-Comment?!
-Comme vous le savez, sa mère était hospitalisé depuis plusieurs mois mais son état ne faisait qu'empiré. Au moment d'un transfère qui devait s'effectuer dans la mâtiné par hélicoptère, elle succomba à sa maladie.
-Je suis vraiment navré pour Charly, présentez lui mes plus sincère condoléances. Je lui accorde trois jours de congé pour qu'il puisse récupérer. J'avertirais vos professeurs.
-Par contre Monsieur?
-Oui?
-Pourriez vous ne pas trop ébruiter l'affaire? Charly souffre déjà beaucoup trop.
-Bien sur!>>

Non au contraire ça me plait, c'est un peu triste mais ça fait plaisir que tu nous fasse par de ce scénario... justement si personne n'a écrit ce n'est pas parce que ca ne plait pas mais plutôt parce qu'on ne veut pas "flooder" ton si beau récit je pense

Merci ^^ et pour vous remercier de cette si délicate attention je vous invite à lire le 3ème chapitre


La sonnerie de sept heure fit sursautter notre héros. Il se leva tout raide, se dirigea vers la salle de bain. En descandant de l'échelle, il remarqua que son ami dormait toujours, il le secoua doucement avant d'aller ses affaires de bains et dans changes dans leur armoire. Il ouvrit la porte de la douche tout en pensant encore à sa mère et au révélation faite à son best. Cette tragédie c'était déroulé trois jours plutôt, la psycologue assigné à l'établissement lui avait dit qu'il était en état de reprendre les cours. Ce n'est pas ça quile dérangait, bien sur ça reste quelques chose d'ennuyeux... mais ce qu'il redoutais le plus c'était les regards, les questions, les discutions et surtout les traitement de faveurs! Charly a horreur de ce genre de "racisme", qu'il soit positif, il s'en moquait, il ne pouvait juste pas supporter les traitement de faveurs, être différant. Il avait déjà vécu ça avec la mort de son père et il haissait ce genre de méprise.

L'eau chaude qui ruisselait sur son corps le revigora un peu. Il se secha et sortit pour laisser la place à Jack avec regrais. Il se dirigeat ensuite vers son bureau pour vérifier que tout était en ordre pour sa reprise. Une fois Jack sortit, il se dirigèrent vers le réfectoire. Ils avaient une quinzaine de minute de retard, ça au moins ne chageait pas de leur habitude. Ils engloutirent tous deux ce qu'il avait pris et se dirigèrent vers leur vhambre pour prendre leurs sacs et les charger des affaires resté dans leurs casier devant le bureau de la CPE. La sonnerie avait déjà sonné depuis cinq bonnes minutes mais les conpères ne se pressèrent pas pour autant. Ils parlèrent tout en marchant :

<<- Que pense tu de la réaction du prof?
- Je suppose que ça sera du genre "Bonjour Charly, veux tu qu'on fasse une petite séance légère pour ton retour?"
- Surement, rigola intérierrement Jack.>>

Il savait très bien que son ami ne supportait pas les traitements de faveurs et allait surement envoyer bouler leur professeur.

<<- Si les camarades t'ennuis trop on ira en parler à l'infirière ok?
- Non je vais tous les envoyer paitre. Ca me permettra de me défouler un peu, j'ai bien besoin de ça, ça leur apprendra qu'il faut retenir la leçon des la première administration!

En effet, à la mort de son père, ses camarades se sont tous vu administrer des clashs d'une violence innouie et pour les plus insistant quelques gifles. Bien sur le proviseur comprenais ces réactions et l'avais juste coller une heure pour ne pas attiser les foudres de l'élève courroucé.

Charly toqua à la porte, il l'ouvrit. Tous les regards se tourna vers lui et se détournèrent prèsque aussi tôt quand ils appercurent les yeux du retardataire ainsi que ça main crisper sur la porte. Jack le clama en lui décrochant la mains de la poigné puis s'excusa pour lui de leur retard, ils prirent leurs place au fond de la classe. Le prof voulut demander à Charly s'il allait bien mais celui çi répondit sechement : <> Il prit un de ses crayons de couleurs en double et le brisa d'une pression de la main. Le professeur se retourna vers le tableau et continua son court sur la mondialisation des firmes de cosmétiques françaises.

Chapitre 04 : Révélations...

<<-Charly, ça va? Charly? Ehoh vieux reste avec nous.>>

Trop tard, une énorme gerbe de sang sortit de sa bouche pour se loger sous la table, puis il s'évanouit. Jack le ratrappa et hurla :

<<- Monsieur! Charly c'est évanoui!
- Quoi?! Que quelqu'un aide Jack à le transporter à l'infirmerie et qu'un autre se dirige à l'infirmerie pour alerté l'infirmière!
- Tout de suite! S'écrièrent deux élèves du premier rang.

L'un des deux élèves, se précipita à la porte et se dirigea vers les locaux de soins. L'autre accourut au secours de Jack et pris le bras libre de charly pour le passer par dessus son épaule. Il avait un visage de mort, il était pâle les yeux roulé vers le plafond, des gouttes de sang gouttaient de son menton. Ils se dirigèrent tous trois vers la sortie de classe.

Tous les élèves étaient sous le choc, personne n'avait vraiment comprient ce qu'il se passait. Après un silence digne du titre du "plus long et lourd silence au monde" le professeur s'éveilla de sa torpeur. Il demanda au élèves de rester clame, même si ce n'était pas la peine car tout le monde était trop abassourdit pour dire quoi que se soit.

*

Faible comme il ne l'avait jamais été, Charly repris ses esprits sur un lit pas très confortable, au milieu d'une multitude d'appareil. Il ouvrit les yeux et vit deux visages penché sur lui. Il voulut leur demander ou il était mais aucun de ses membres ne pouvait bouger et ses cordes vocales encore moins fournir de son. Il entendit l'homme de droite prononcé son nom mais les instructions qui suivirent fut incompréhensible dans son état.

Après de longue minute de concentration il réussit a entendre << Charly, si tu m'entends sert mon doigt qui est dans ta main droite.>> Il réussit à enchainer trois petites pressions sur le doigt de l'homme. Satisfait il demanda à la femme qui était à la gauche du blessé quelque chose. Il se redressa et appuya sur quelques boutons d'une machine qui était relié a une poche ou flottait un liquide incolore. Il aperçut alors que c'était une perfusion et qu'il était dans une ambulance. Il voulut se relever, mais l'homme le replaqua contre le matelat doucement mais fermement. En temps normal, il aurait put se dérober de son emprise et se lever, mais en ce moment, il était tellement faible que même lever le brad lui parraissait impossible.

<<- Reste coucher, repose toi, tu as perdu beaucoup de sang, tu as besoin de soin rapidement, de plus ton rythme cardiaque était anormalement rapide. Je me présante, Docteur Graw, et mon assistante, l'infirmière Coraline Mally.
- Salut, lui dit dit Coraline, je viens de passer mon concours de psychiatre. Je viendrais te voir régulièrement pour que l'on parle de toute sorte de chose. Tu peux tout me dire, tout sera garder secret, continua t elle en lui addressant un clin d'oeil.

L'infirmière Mally était jeune et très belle, Charly rougis lorsqu'il vit le joli clin d'oeil qui lui était adressé. Elle avait des yeux bleu très claire, encore bronzé de l'été elle avait la peau à peine foncé et un visage légèrement allongé. Ses cheveux attachés en chignons derrière la tête était de couleur chatain claire. Elle donnait l'impression d'avoir une vingtaine d'année, mais elle devait en avoir au moins cinq de plus pour finir ses longues études. Les cheveux grisonant sur les tempes, les yeux qui jouait sur le bleu et le gris, le Docteur Graw donnait beaucoup plus l'impression d'être un homme agée d'une bonne quarantaine d'année, malgré sa morphologie encore imposante et une carrure assez impressionnante, il avait une mine simpathique et rieuse.
<<- Ca y est nous arrivons, annonca Graw. >>